Aider les victimes indirectes
• Autorités et ONG ont identifié les victimes survivantes en fonction des dommages matériels qu’elles avaient subis. Est victime : le pêcheur qui a perdu sa maison, son bateau ; le paysan dont le champ a été inondé ; le commerçant ou l’hôtelier dont l’entreprise a été ravagée par la vague.
• L’économie côtière faisait vivre également des milliers de travailleurs qui avaient des activités parallèles à la pêche, au commerce maritime ou à l’agriculture côtière : transporteurs ou vendeurs de poissons, portefaix, petits commerçants…
Même s’ils n’ont pas été affectés physiquement ou matériellement, ils sont aussi sinistrés par le tsunami mais sont rarement pris en compte par les programmes internationaux en faveur des victimes.
• Les plus démunis des zones affectées n’avaient ni maisons, ni bateaux, ni terrains au bord de l’eau. Dans la phase d’urgence, ils étaient contraints de mendier alors que l’aide arrivait en masse à destination des victimes plus « favorisées ».
Alors que l’aide permet de rebâtir à neuf, ceux qui n’avaient rien ne reçoivent rien et restent donc tout aussi pauvres. Dans ce cas, l’aide risque d’accroître les inégalités et les tensions sociales.
avec le CCFD - TERRE SOLIDAIRE
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