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  • Être une ville accueillante c’est possible

    A l’occasion des élections municipales 2020, le CCFD-Terre Solidaire s’engage pour interpeller et sensibiliser les candidats et candidates autour des enjeux de l’accueil et l’intégration des personnes migrantes.

     

    La campagne “Être une ville accueillante, c’est possible” s’inscrit dans un travail de long-terme mené collectivement dans le cadre de l’Organisation pour une Citoyenneté Universelle qui regroupe le CCFD-Terre Solidaire et d’autres organisations.

     

    Mobilisé avec nos bénévoles et nos alliés, notre objectif est de porter un message positif à partir de l’expérience réussie de plusieurs villes qui ont fait le choix de mieux accueillir les personnes migrantes.

     

    Une autre politique migratoire est possible, elle existe et elle porte ses fruits !

    © Jocelyn Rigault

    “Nombreux sont les exemples de villes ou de villages dans lesquels les autorités locales et les acteurs de société civile travaillent ensemble pour mettre en place des solutions d’accueil, d’intégration, respectueuses des droits et de la dignité des personnes. Devenir ville accueillante n’est pas une utopie ! Ensemble nous pouvons relever le défi”. 

    Nina Marx – Chargée de mission Migrations Internationales.

    Nos convictions

    Les villes et les communes peuvent jouer un rôle majeur pour agir face à la violation des droits des personnes migrantes. Elles ont le pouvoir d’initier des politiques locales volontaristes en faveur de l’accueil et de l’intégration.

    Comment ? En facilitant l’accès au logement et à l’école. En permettant l’apprentissage de la langue. En mettant en place des outils et des espaces d’échanges pour permettre aux personnes migrantes de jouer leur rôle de citoyen.

    avec le CCFD – TERRE SOLIDAIRE

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    L’objectif de cette campagne :

    Interpeller les candidats et candidates pour les encourager à faire de leur localité une “ville accueillante” une fois élu.e.s.
    Sensibiliser les décideurs et l’opinion publique à des exemples d’initiatives innovantes et d’alternatives en matière d’accueil, d’intégration et d’hospitalité des personnes étrangères.
    Encourager une vision des migrations comme une richesse pour nos sociétés et promouvoir une politique migratoire alternative respectueuse du droit des personnes migrantes.

    Kit de mobilisation

    © Jocelyn Rigault

    Municipalités solidaires et accueillantes, 10 exemples de politiques alternatives

    1 mn

    10 décembre 2019

    Lire l’article
  • Luttons contre l’évasion fiscale

    Agissons pour la justice fiscale

     

    Des Bermudes aux Îles Caïmans. Du Pays-Bas au Luxembourg. Des centaines de milliards d’euros ou de dollars sont déplacés chaque année dans ces territoires par des montages sophistiqués ou disparaissent via des sociétés-écrans.

     

    L’objectif ? Permettre aux multinationales ou à de riches particuliers de se soustraire à l’impôt. Et pendant que cet argent s’évapore dans les paradis fiscaux, les caisses des États, surtout des pays du Sud, sont vides.

     

    Vous trouvez cela juste ? Nous non plus !

     

    Depuis de nombreuses années, le CCFD-Terre Solidaire se mobilise en faveur d’une justice fiscale qui redonne aux États les ressources financières dont ils sont spoliés, afin qu’ils puissent répondre aux besoins fondamentaux de leur population et réduire les inégalités.

    40 %

    des profits réalisés par les multinationales
    sont délocalisés dans les paradis fiscaux.

    427 Mds

    de dollars, c’est ce que coûte
    l’évasion fiscale chaque année dans le monde.
    © Canva

    Nos convictions

    L’évasion fiscale des multinationales prive chaque année les pays du Sud de 180 milliards d’euros de recettes fiscales.

    Ce manque à gagner, c’est autant d’argent qui ne sera pas utilisé pour l’éducation, la santé ou la sécurité alimentaire des populations.

    C’est une évidence : sans ressources, propres les pays du Sud ne peuvent être pleinement acteurs de leur développement.

    Pourtant, des solutions existent pour lutter efficacement contre l’évasion fiscale ! 

    avec le CCFD – TERRE SOLIDAIRE

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    Nous plaidons pour :

    1. Une réelle transparence fiscale

    Cela doit passer par la création d’un reporting public pays par pays pour contraindre les multinationales à rendre publiques leurs informations clé et les impôts qu’elles payent dans tous les pays où elles ont des activités.

    2. Une évolution du système fiscal international

    Les systèmes d’impositions des entreprises doivent évoluer, en instaurant, par exemple, une taxation unitaire. Le principe : taxer le bénéfice global des multinationales, puis le répartir dans les pays où ces entreprises ont leurs activités.

    3. La fin de la course au moins-disant fiscal

    Il est temps d’en finir avec cette pratique, qui consiste pour un État à adopter une législation fiscale la moins contraignante afin d’attirer les entreprises étrangères et les capitaux étrangers sur son territoire. Nous plaidons pour la fin du nivellement par le bas des impôts des multinationales par la multiplication d’incitations fiscales et la baisse de l’impôt sur les sociétés.

    4. La création d’un organisme fiscal international à l’ONU

    Pour que les Etats du Nord ne soient plus les seuls vainqueurs du système, nous plaidons pour la création au sein des Nations Unies, d’un organisme où tous les États sont représentés sur un pied d’égalité et permettre des réformes fondamentales du système fiscal.

    5. La protection des lanceurs et lanceuses d’alerte

    Celles et ceux qui prennent des risques pour dévoiler des informations nécessaires à l’intérêt général, doivent être protégés. Nous plaidons une meilleure protection des lanceurs et lanceuses d’alerte.

    Rejoignez-nous ! 

    Luxleaks, Panama et Paradise Papers …. le courage de lanceurs et lanceuses d’alerte, et le travail des journalistes, ont permis de lever le voile sur ces pratiques massives d’évasion fiscale.

    Mais le combat continue ! Rejoignez-nous pour vous former aux enjeux de la justice fiscale et participez à nos actions de mobilisation !

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  • Impunité des multinationales : Reprenons le pouvoir !

    Stop à l’impunité des multinationales

     

    Savez-vous qu’avec l’ISDS, un mécanisme d’arbitrage international entre des investisseurs et des Etats, les entreprises multinationales ont la possibilité d’attaquer un Etat et de lui réclamer de fortes sommes d’argent en dédommagement, si celui-ci met en place une loi ou une politique publique qui ne lui serait pas favorable ?

     

    88 milliards de dédommagements reversés par les états aux multinationales. Ça vous choque ? Nous aussi !

     

    Avec la campagne “Reprenons le pouvoir”,  nous voulons révéler au grand public le scandale des tribunaux d’arbitrages internationaux (ISDS) qui garantissent un système de justice à la carte aux multinationales.

    © William Dupuy

    70 %

    des sous-sols au Pérou ont été accordés à des compagnies pétrolières.

    600 000 ha

    au Mali accaparés par l’industrie agroalimentaire, minière et forestière.
    © William Dupuy

    Les multinationales se partagent le monde

    5 cas emblématiques

    © Canva

    Vattenfall en Allemagne

     

    Après la catastrophe nucléaire de Fukushima en mars 2011, l’Allemagne décide d’amorcer sa sortie du nucléaire. Le gouvernement allemand prévoit une fermeture progressive des centrales nucléaires d’ici 2022, une décision validée par le Bundestag.

     

    En 2012, s’estimant lésé par cette décision, le géant de l’énergie suédoise, Vattenfall réclame 4,7 milliards d’euros à l’Allemagne pour compenser la perte de profits, due à la fermeture de deux de ses centrales nucléaires, en ayant recours à l’ISDS.

    Le  drame du Rana Plaza au Bangladesh

     

    Le 24 avril 2013, le Rana Plaza, un immeuble abritant 6 usines textiles principalement pour compte de la grande distribution européenne et nord-américaine, s’effondre. Le drame fait 2 000 blessés et cause la mort de plus de 1 138 ouvrières. Alors que d’inquiétantes fissures étaient apparues quelques jours auparavant, les menaces de licenciement de la part des employeurs ont contraint les ouvrières à venir travailler malgré les risques.

     

    Après des mois de forte mobilisation internationale, les multinationales, dont la présence était avérée parmi les clients de l’usine, participent enfin à un fond de dédommagement sans pour autant reconnaître leur part de responsabilité ce fond est loin d’être suffisant pour indemniser convenablement les victimes.

    © CCFD-Terre Solidaire

    Le pouvoir des multinationales en Argentine

     

    En 2001-2002, l’Argentine est frappée par une importante crise économique et financière. En moins d’un an, 5 présidents se succèdent à la tête du pays, la dette s’élève à plus de 140 milliards de dollars et 57 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté.

     

    Le gouvernement est contraint de mettre en place des mesures d’urgence de sortie de crise comme le gel des tarifs de l’eau et de l’électricité ainsi que la dévaluation de sa monnaie. Mais de nombreuses multinationales comme : Suez, Total, EDF, France Telecom ou encore Vivendi, attaquent l’État en ayant recours à l’ISDS pour obtenir des compensations financières. Fin 2014, le gouvernement a été est contraint de payer 980 millions de dollars de dédommagement aux multinationales.

    © Canva

    Chevron en Equateur

     

    Après 26 ans d’exploitation pétrolière, l’entreprise américaine Chevron quitte l’Équateur en 1993, laissant derrière elle, en pleine Amazonie, un millier de fosses remplies de pétrole brut et de boues d’épuration toxiques. L’entreprise est responsable du déversement de plus de 68 milliards de litres d’eaux usées toxiques dans les rivières, causant des dommages environnementaux irréversibles et des maladies graves au sein des populations locales.

     

    En 2011, Chevron est condamné par la Cour suprême à reverser 9,5 milliards de dollars de dommages et intérêts. L’entreprise refuse de payer et poursuit en retour l’Équateur pour manque à gagner en ayant recours à l’ISDS. Le 30 août 2018, la Cour permanente d’arbitrage de La Haye statue en faveur de Chevron et condamne même l’Équateur à indemniser l’entreprise pour les dommages causés par les poursuites judiciaires.

     

     

     

    © Canva

    Cargill au Mexique

     

    En 2009, le Mexique est condamné par une Cour d’arbitrage internationale à verser 77,3 millions de dollars au géant de l’agroalimentaire Cargill, pour avoir mis en place des mesures de lutte contre l’obésité.

     

    Quel délit mérite une telle punition ? La mise en place par le gouvernement mexicain d’une taxe sur le sirop de fructose, afin de lutter contre l’obésité et de protéger l’industrie mexicaine du sucre de canne et ses milliers d’emplois face au sirop états-unien. L’entreprise Cargill, qui produit du sirop de maïs contenant du fructose, a utilisé comme recours l’ISDS intégré dans le traité de libre-échange nord-américain (ALENA).

    Nos convictions 

    Les accords de commerce et d’investissement confèrent aujourd’hui aux entreprises multinationales des droits exorbitants et leur donnent accès à un système de justice parallèle pour les protéger.

    Nous plaidons pour des mesures qui mettent fin à l’impunité des multinationales et permettent aux victimes d’obtenir justice.

    Notre note de position aux eurodéputé.e.s

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    Nous demandons à l’Union Européenne et à ses Etats membres

    de mettre fin à ces privilèges en révoquant les clauses d’arbitrage entre investisseurs et États des accords de commerce et d’investissement en vigueur.
    de soutenir les négociations en cours aux Nations Unies en vue de l’adoption d’un traité contraignant relatif aux entreprises multinationales et aux droits humains, mettant fin à leur impunité.
    d’inscrire dans leurs législations des obligations contraignant les entreprises transnationales à respecter les droits humains et l’environnement dans leurs activités et opérations dans le monde entier.

    Sur le terrain

    nos partenaires agissent

    © Ricardo Jimenez

    Pérou – CAAP 

     

    Le CAAP, participe à la reconnaissance des droits des peuples indigènes au Pérou qui subissent les menaces et les violences des compagnies pétrolières.

     

    Ces multinationales se partagent plus de 70 % des sous-sols du pays. Grâce à l’action de notre partenaire, en 2015, la nation Wampis s’est dotée d’une Constitution, d’un Président et d’un Parlement.

    © Patrick Piro

    Indonésie – Institut de Dayakologi

     

    Pour lutter contre l’accaparement des terres par les industriels de l’huile de palme en Indonésie, notre partenaire, l’Institut de Dayakologi (ID) forme les paysans dayaks de la région du Kalimantan à l’agroforesterie et à une gestion durable de leurs ressources menacées.

     

    Il aide également les populations locales à réaliser des cartes de leurs domaines et ressources pour les protéger des expropriations et des ventes forcées de leurs terres.

    © Clémentine Méténier

    Mali – CMAT

     

    Au Mali, près de 600 000 hectares ont été accaparés par l’industrie agroalimentaire, les exploitants forestiers et les industries minières ces dernières années. Ces accaparements, réalisés avec l’appui de l’État malien, privent les populations locales de l’accès à leurs ressources de subsistance et génèrent des conflits fonciers entre communautés.

     

    Grâce aux actions juridiques menées par notre partenaire, la Convergence Malienne contre l’Accaparement des Terres, pour lutter contre l’accaparement des terres, une loi sur le foncier agricole a été votée en 2017 pour sécuriser davantage les terres des communautés locales et faire cesser les intimidations subies par les communautés paysannes.

    © Ana Carolina de Lima

    Bolivie – CIPCA

     

    En Bolivie, 300 000 hectares de forêt disparaissent chaque année et contribuent aux changements climatiques qui affectent les populations rurales. Les accaparements de terres et les conditions climatiques qui se détériorent, poussent de nombreuses personnes des communautés indigènes à l’exode.

     

    Aux côtés des communautés locales, notre partenaire CIPCA, mène une résistance face aux propriétaires terriens. Ensemble, ils mettent en place une économie de subsistance en s’appuyant sur l’agroécologie et démontrent l’efficacité d’un modèle basé sur le respect des droits humains et de l’environnement pour assurer la souveraineté alimentaire.

    © Eric Garault

    Brésil – CIMI

     

    Le CIMI accompagne les communautés indigènes, qui s’opposent aux ravages des multinationales en Amazonie, dans leur lutte pour la survie, la protection de leurs terres et leurs droits collectifs.

     

    ” Des groupes alimentés par l’opportunisme de l’agrobusiness détruisent tout en commençant par ce qu’il y a de plus sacré : la vie des peuples et celle de la planète”.  

    Monseigneur Roque Paloschi, archevêque de Porto Velho et président du CIMI.

    #reprenonslepouvoir

    Entre janvier 2019 et 2020, la forte mobilisation du CCFD-Terre Solidaire aux côtés d’autres organisations de la société civile, a permis de porter notre combat contre l’impunité des multinationales à l’échelle européenne et de récolter plus 675 000 signatures.

    Rejoignez notre combat en faveur de la justice économique !

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  • Rien n’arrêtera la solidarité, pas même les frontières

    Solidaires face aux frontières

     

    Depuis plus de 40 ans, le CCFD-Terre Solidaire se mobilise afin que migrer puisse être un choix et une chance pour toutes et tous. Par son action de solidarité internationale, nous œuvrons à ce que chacun puisse trouver dans sa patrie des conditions pour exister et vivre dignement.

     

    Nous soutenons près de 30 organisations locales, en France et à l’étranger, qui s’attachent à ce que les droits des personnes migrantes soient respectés tout au long de leur chemin migratoire. Chaque jour, nos partenaires et nos bénévoles mènent des actions, ici et là-bas, pour protéger et aider les personnes migrantes le long de leur exil.

     

    Avec nos partenaires, nous faisons vivre chaque jour une solidarité internationale que rien n’arrêtera, pas même les frontières.

    © Anne-Sophie Bisiaux

    2.7m

    d’euros dépensés pour le mur
    anti-migrants à Calais.

    216 km

    de murs construits par la Hongrie
    le long de ses frontières avec la Serbie.
    © Anne-Sophie Bisiaux
    © Patrick Bar

    Les migrations aujourd’hui

    L’Union Européenne et ses États membres mènent, depuis plusieurs années, des politiques migratoires toujours plus inhumaines et plus coûteuses.

    Plus de 1000 km de murs ont été érigés en Europe, et plus de 21 milliards d’euros sont prévus pour renforcer les frontières extérieures de l’Union Européenne d’ici 2027.

    Les politiques migratoires actuelles ont tué 34 000 personnes ces 20 dernières années. Elles sont mortes en mer, en tentant de traverser une frontière, ou encore dans les centres de rétention.

    Ces politiques migratoires sont dictées par l’Europe et des pays comme les États-Unis, or le dialogue avec des pays considérés comme plus pauvres sur ces enjeux cruciaux est quasi inexistant. Pourtant, 85% des réfugiés ont trouvé protection dans un pays en développement.

    Nos convictions

    Il nous appartient aujourd’hui de changer les mentalités, de bousculer les politiques actuelles et de nous engager pour le renforcement des valeurs de solidarité aux frontières.

    Nous plaidons pour l’application d’une gouvernance alternative des migrations qui permettrait à tous les Etats de coopérer pour définir des politiques migratoires plus justes. Nous soutenons des organisations partenaires locales basées dans le monde entier qui mènent des actions variées en faveur de la protection et de la défense des droits des personnes migrantes.

    Soutenir ces pluralités d’actions fait notre force. Le travail commun est la clé du changement.

    avec le CCFD – TERRE SOLIDAIRE

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    Nous demandons aux Etats :

    De tous coopérer entre eux pour mettre en place des politiques migratoires plus justes en n’excluant aucun pays du dialogue.
    De mettre en place des politiques migratoires plus respectueuses des droits humains.

    Sur le terrain

    Nos partenaires agissent

    MEXIQUE

     

    SMR (Scalabrin Ianas Mision Para Migrantes)

     

    La congrégation des sœurs Scalabriniennes  a notamment spécialisée son action en faveur des personnes migrantes victimes de délit (du crime organisé) et potentiellement bénéficiaires du visa humanitaire mis en place depuis 2011.

     

    BRÉSIL

     

    CDHIC (Centro de Direitos Humanos e cidadania do imigrante)

     

    L’association entend contribuer à influencer les politiques migratoires au niveau national et régional. Elle assure un suivi des flux migratoires, des conditions de migration et des politiques publiques pour mesurer leurs conséquences directes sur les personnes migrantes.

    FED © Patrick Chesnet

    THAÏLANDE 

     

    FED (Foundation for Education and Development)

     

    FED oeuvre à défendre les droits des travailleurs migrants birmans, vivant en Thaïlande. Alors qu’ils seraient près de 5 millions, la plupart d’entre eux ne sont pas enregistrés légalement. FED mène également des actions d’éducation, de prévention santé et d’appui administratif et juridique pour les personnes migrantes.

    NIGER 

     

    AEC (Alternatives Espaces Citoyens) au sein du réseau Sahel – Mahreb

     

    Les personnes migrantes qui traversent le désert saharien, font face à de nombreuses violences et à une déshérence totale. Le Réseau Maghreb-Sahel, composé de nombreuses ONG de différents pays, oeuvrent à l’amélioration de leurs conditions de vie et à faire reconnaître leurs droits.

    FRANCE

     

    ANAFE (Association Nationale d’Assistance aux Frontières pour les étrangers)

     

    L’Anafé agit en faveur des droits des personnes en difficulté aux frontières et en zone d’attentes. Aux frontières extérieures et intérieures, l’Anafé œuvre pour que les droits fondamentaux des personnes exilées soient respectés et que la France applique ses engagements nationaux, européens et internationaux en matière de protection des personnes vulnérables.

     

    MAROC

     

    ABCDS

     

    Le département Migration et Droits Humains d’ABCDS œuvre pour le respect de la dignité des personnes migrantes marocaines et étrangères, à travers notamment, le soutien humanitaire et juridique, le plaidoyer et la sensibilisation. Une cellule d’assistance aux personnes migrantes subsahariennes sans papiers est mise en place dans à la frontière algérienne pour faire valoir leurs droits.

  • Justice climatique : Stop compensation carbone

    Non aux fausses solutions pour le climat

    Face au dérèglement climatique, les multinationales rivalisent de fausses solutions sur leur neutralité carbone. Comment ? En plantant des arbres plutôt qu’en réduisant significativement leurs émissions de gaz à effet de serre.

     

    Non, planter des arbres à l’autre bout du monde ne diminue pas l’impact des activités des plus gros pollueurs.

     

    Oui, cela a des conséquences dévastatrices sur les populations les plus vulnérables et l’environnement.

    1.5°C

    c’est la limite qui sera franchie dans 10 ans

    67 %

    de hausse d’émissions de CO2
    dans le monde entre 1990 et 2018.
    © William Dupuy

    Nos convictions

    Les dérèglements climatiques révèlent l’impasse de notre modèle de développement.

    L’eau, la terre, les forêts et l’air sont des biens communs trop précieux pour les laisser entre les mains de la finance et des multinationales.

    Nous défendons une justice climatique fondée sur l’équité, la solidarité et le respect des humains.

    © Ophélie Chauvin

    Rejoignez le mouvement !

    #StopCompensation 

    Téléchargez le kit de mobilisation

    Nos revendications pour une justice climatique

    Pendant la COP 26, demander le retrait du secteur des terres de l’Article 6 de l’Accord de Paris. Nos terres doivent rester en dehors des mécanismes de compensation carbone et des marchés financiers.
    Privilégier des politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre, plutôt que des fausses solutions comme la compensation carbone.
    Soutenir les initiatives citoyennes, ici et là-bas, qui construisent une vraie transition écologique, sociale, alimentaire et économique.

    Partout dans le monde, nos partenaires se mobilisent pour dénoncer l’impact des programmes de compensation carbone.

    Sur le terrain

    Nos partenaires témoignent

    Amazonie, Brésil

     

    “J’ai surtout compris que le programme de compensation est une fausse bonne solution.

     

    Les financements proviennent des entreprises qui polluent et qui achètent ainsi le droit de continuer à détruire une nature qu’elles prétendent vouloir protéger”. 

     

    Ninawa, Chef des communautés Huni Kuin 

    © Jean-Claude Gérez

    Colombie

     

    ” Avec cette logique de détruire ici et de compenser là-bas, les dommages environnementaux continuent de s’intensifier “. 

     

    Censat Agua-Viva  

    © William Dupuy

    Mozambique

     

    ” Les communautés paysannes ont perdu leurs terres, les pêcheurs ont perdu leur accès à la mer, les violations des droits de l’homme se multiplient…” 

     

    Justiça Ambiental (JA!)

    © Gwenn Dubourthoumieu

    F.A.Q : Pourquoi cette campagne ?

    Bruxelles inondée, 50 °C au Canada … Les effets du dérèglement climatique sont de plus en plus visibles et affectent les populations du Sud comme du Nord.

    Le CCFD-Terre Solidaire et ses partenaires, eux-mêmes témoins des ravages du réchauffement climatique, se mobilisent face à cette urgence. Leur objectif est de promouvoir des alternatives tournées vers l’écologie, la justice sociale et climatique.

    À l’occasion de la COP26 qui se tiendra à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre 2021, le CCFD-Terre Solidaire sera présent pour faire entendre la voix des populations les plus affectées.

    Bénévoles et partenaires unissent leurs forces pour porter cette campagne à travers de nombreuses mobilisations, partout en France et à l’international.

    La neutralité carbone est l’équilibre entre les émissions de gaz à effet de serre (GES) et leur absorption par les “puits de carbone”. Ces derniers sont des réservoirs qui stockent (ou séquestrent), de façon naturelle ou artificielle, le carbone présent dans l’atmosphère.

    Atteindre cette neutralité, c’est répondre à l’objectif du “zéro émission nette”, soit :
    1 tonne émise – 1 tonne séquestrée = 0 émission.

    Et cela passe par deux leviers :

    1. réduire une partie des émissions à la source
    2. compenser les autres par la séquestration du carbone

    Mais comme aucune répartition claire entre les deux n’a été définie, les entreprises misent essentiellement sur la compensation carbone pour atteindre cet objectif de neutralité.

    Pour atteindre les objectifs de neutralité carbone, la compensation carbone est érigée comme la solution par de nombreuses multinationales.

    Le mécanisme est simple : il consiste à compenser ses émissions de GES en finançant des projets de séquestration ou de réduction d’émissions de CO2.

    Ainsi, sur les marchés carbone, les pollueurs peuvent acheter des “crédits carbone” aux bons élèves pour contrebalancer le CO2 qu’ils ont émis.

    Sans être “mal”, planter des arbres pour compenser les émissions de GES est loin d’être une solution suffisante et présente de nombreuses limites :

    • Seules les émissions de CO2 peuvent être compensées. Et même pour cela, il faudrait planter beaucoup d’arbres pour compenser l’ensemble de nos émissions. Cela nécessite des millions d’hectares et de nombreuses années avant que les arbres atteignent leur taille adulte et puissent accumuler l’équivalent du carbone émis. Pour aboutir, ce mécanisme nécessite du temps et de l’espace que nous n’avons plus.
    • Le CO2 provenant des activités humaines s’ajoute à celui qui circule déjà naturellement dans l’atmosphère. Or, les arbres ont une capacité d’absorption limitée et les effets d’une sur-absorption peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la biodiversité.
    • Dès lors qu’un arbre brûle ou se décompose, il rejette automatiquement dans l’atmosphère l’ensemble du carbone qu’il séquestre. Or, comme nous avons pu le constater cette année, les dérèglements climatiques engendrent une hausse du nombre d’incendies forestiers.

    La compensation est donc un processus lent, soumis aux aléas de la biodiversité en même temps qu’il la met en danger, et nous détourne des enjeux vitaux de préservation des forêts primaires et de réduction des émissions de CO2.

    La compensation carbone – soit prétendre “gommer” ses émissions en plantant des arbres – est un leurre pondu par les lobbies des multinationales pour maintenir leurs activités tout en donnant l’impression de “faire leur part pour le climat”.

    • Scientifiquement, ce n’est pas une solution viable : aucune étude sérieuse ne démontre que le carbone est durablement capté par les arbres ou dans les sols. De plus, une tonne de gaz émise n’équivaut pas à une tonne de gaz “compensée”.
    • La compensation carbone ne peut pas être une fin en soi  : elle doit se faire en complément d’une réelle politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre plutôt que de s’en détourner.

    De nombreuses multinationales, avec la passivité ou la complicité des Etats, s’accaparent des milliers d’hectares de terres agricoles fertiles et nourricières, pour mener des projets de compensation carbone.

    • Sur le plan des droits humains et de la biodiversité, les conséquences de l’accaparement de ces terres sont nombreuses et irréversibles : une mise à mal de la souveraineté alimentaire ; des populations et des communautés agricoles chassées de leurs terres et privées de leurs ressources, parfois dans la plus grande violence.
    • Sur le plan écologique, la séquestration du carbone dans les sols, mais aussi dans les mers, menace de bouleverser ou de détruire irrémédiablement les écosystèmes.

    Les populations qui polluent le moins sont celles qui payent le prix fort de la compensation carbone.

    Les pays du Sud subissent déjà les revers de l’hyper-pollution des pays du Nord. Avec le mécanisme de compensation carbone, ils deviennent en plus “la poubelle à carbone” des gros pollueurs qui s’accaparent leurs terres pour séquestrer leurs émissions.

    Et cela, dans des conditions injustes : le rachat des terres se fait bien souvent sans que les populations concernées n’aient leur mot à dire où qu’elles n’en voient la couleur, surtout dans les pays où règne la corruption.

    Pendant ce temps, les Etats se dédouanent de toute responsabilité économique, sociale et civique. Ils entretiennent une politique d’abandon des souverainetés foncières et alimentaires.

    Ce mécanisme est aussi injuste pour les consommateurs soucieux d’être responsable dans leur consommation, qui sont finalement dupés par les grandes entreprises qui transforment une pratique écologiquement douteuse en un argument marketing, proche de la publicité mensongère.

    En plus d’accentuer les inégalités sociales et environnementales, la pandémie de la COVID-19 a montré l’urgence de transformer nos modes de production et de consommation pour limiter le réchauffement climatique.

    Plutôt que de réformer en profondeurs nos systèmes, les Etats et les principaux pollueurs optent pour la politique de l’autruche en favorisant de fausses solutions pour le climat.

    En effet, depuis l’Accord de Paris, les objectifs de “neutralité carbone” fleurissent chez nombre d’acteurs. Pourtant, les mécanismes promus pour y répondre interrogent et inquiètent.

    D’une part, la mise en place de politiques et de financements publics réduisant réellement les émissions de GES dans les secteurs les plus émetteurs (énergie, industrie, aérien). Et non des mesures qui, en quelque sorte, cachent sous le tapis les émissions de gaz dues à l’activité humaine. Compenser ce n’est pas réduire.

    D’autre part, ces mesures doivent intégrer une protection des droits humains et des écosystèmes, en incluant des garde-fous stricts et en créant une instance indépendante pour déposer des plaintes en cas de problème.

    Enfin, une aide au développement de systèmes productifs locaux et territoriaux, sobres en carbone et porteurs d’une vraie transition écologique, sociale, alimentaire et économique.

    Le CCFD-Terre Solidaire a mis les terres nourricières au centre de son action et milite pour qu’elles soient absolument exclues des mécanismes de compensation via les marchés carbone de l’Accord de Paris.

    Pour réduire l’impact du secteur agricole et aider les agriculteurs à s’adapter au changement climatique, il est nécessaire d’adopter une transition vers l’agroécologie paysanne et solidaire.

    C’est-à-dire, la promotion de systèmes alimentaires qui intègrent toutes les dimensions – sociétale, économique, politique, environnementale – au-delà des seules pratiques agricoles.

    Promouvoir l’agroécologie, c’est soutenir :

    • la protection de la biodiversité
    • la gestion démocratique des territoires et de leur ressource
    • l’égalité femme-homme, l’agriculture familiale et les droits des populations paysannes, qui sont en première ligne de la lutte contre la faim dans le monde

    C’est pourquoi, le CCFD-Terre Solidaire est mobilisé depuis 60 ans, aux côtés de celles et ceux qui œuvrent pour fonder un nouveau modèle de développement et encourager les acteurs politiques et privés à faire de même.

  • Crise alimentaire : Le virus affame

     

    D’ici fin 2020, jusqu’à 130 millions de personnes supplémentaires pourraient souffrir de faim chronique en raison des impacts sociaux et économiques de la pandémie sur les 5 continents, soit 4 personnes par seconde.

     

    Depuis 60 ans, le CCFD-Terre Solidaire lutte contre l’insécurité alimentaire pour un monde plus juste dans 70 pays. Ensemble, ne laissons pas la pandémie sanitaire se transformer en pandémie de la faim.

    © CANVA

    En 1 seconde

    la COVID-19 fait 4 victimes
    dans le monde.

    130 millions

    de personnes souffriront de la faim
    à cause de la pandémie, d’ici fin 2020.
    © CANVA
    © Eric Garault

    La pandémie de la faim

    En quelques mois, la crise sanitaire a augmenté le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde, notamment dans les pays où l’État ne peut pas protéger les populations.

    La faim, qui faisait déjà souffrir 690 millions de personnes dans le monde avant la crise du coronavirus, n’est pourtant pas une fatalité. Des solutions existent !

    Nos convictions

    Plutôt que de supporter un système productif industriel qui détruit les ressources naturelles, exploite les paysans, chasse les communautés de leurs terres, et encourage les conflits, nous pouvons tous ensemble, faire le choix de l’agroécologie.

    Soutenons des modèles agricoles et alimentaires plus respectueux des droits humains et de l’environnement.

    Sur le terrain

    Nos partenaires agissent

    Brésil

     

    Alors que la Covid-19 a déjà fait plus de 150 000 morts au Brésil, plus de 15 millions de personnes sont sur le point de basculer dans l’extrême pauvreté et de faire revenir le pays sur la carte de la faim.

     

    Le Mouvement des Sans Terre (MST), soutenu par le CCFD-Terre Solidaire, se mobilise pour apporter de l’aide aux plus démunis.

    Haïti 

     

    En Haïti, la pandémie vient aggraver la situation d’un pays déjà fragilisé par des décennies de crises socio-politiques et de catastrophes naturelles. Aujourd’hui, 42 % de la population est en situation d’urgence alimentaire.

     

    Dans ce contexte, les actions de prévention et de soutien à la relance de la production agricole de nos partenaires locaux sont essentielles pour soutenir la population.

    Liban 

     

    Au Liban, la pandémie s’ajoute à une crise financière, économique et politique, entrainant une crise alimentaire sans précédent.

     

    Avec travers le projet “nos semences sont nos racines”, notre réseau partenaire, Buzuruna Juzuruna  s’engage en faveur d’une agriculture et d’une alimentation durable au Liban.

    © Catalina Martin-Chico

    Rejoignez-nous !

    La crise mondiale que nous traversons nous montre à quel point, d’un bout à l’autre de la planète, nous sommes liés. Vous aussi vous souhaitez agir pour une plus grande solidarité et une plus grande humanité ?

    Rejoignez notre combat en faveur de la souveraineté alimentaire !

    Je m’engage
  • Enterrons l’accord UE-Mercosur

    Pour les droits humains et le climat abandonnez l’accord UE-Mercosur !

     

    Après 20 ans de négociation, l’accord UE-Mercosur est conclu en juin 2019. Celui-ci vise à libéraliser le commerce entre l’Union Européenne et les pays du Mercosur (Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l’Uruguay).

     

    Mais cet accord est surtout la promesse du renforcement du secteur de l’agro-industrie, et de menaces pour les défenseurs des droits humains et de l’environnement dans les pays du Mercosur, en l’absence de tout débat public.

     

    Vous trouvez cela juste ? Nous non plus !

     

    Aux côtés de Greenpeace et de nos partenaires locaux, nous nous mobilisons pour que l’État français cesse d’ignorer les alertes, tant des écologistes que des acteurs du monde agricole, et se retire de cet accord lourd de conséquences pour le climat, la biodiversité et les droits humains.

    © Canva

    780 millions

    de personnes concernées par
    les conséquences de cet accord.

    40 à 45 Mds

    d’euros d’importations et d’exportations,
    c’est le volume d’échanges
    couverts par cet accord.
    © Canva
    Photo d’illustration © Canva

    L’accord UE-Mercosur est le plus important accord de libre-échange conclu par l’Union européenne.

    Avec cet accord, l’Union européenne s’apprête à accorder un chèque en blanc aux multinationales pour faire exploser le commerce transatlantique entre ces deux régions, aux dépens de toute considération sociale et environnementale.

    Enfants Madiha © Eric Garault/CCFD-Terre Solidaire

    Nos convictions

    Alors que la transition de notre modèle économique est plus que jamais nécessaire pour assurer la justice sociale et climatique, cet accord promet d’accroître des dynamiques mortifères.

    Mobilisons-nous contre le risque de voir l’accord ratifié par le Conseil de l’Union Européenne ! 

    Quelles sont les risques de l’accord UE-Mercosur pour le climat ?

    Explosion des quotas de bœuf, de soja destiné à l’alimentation animale et d’éthanol importés, avec un impact direct sur la déforestation.
    Levée des droits de douane sur les pesticides vendus par les Européens, pour une utilisation encore plus massive dans les pays du Mercosur.

    Quelles sont les risques de l’accord UE-Mercosur pour les droits humains ?

    Pression massive sur les territoires autochtones et les écosystèmes dans les pays du Mercosur.
    Absence de mécanisme permettant aux populations affectées par les activités des entreprises d’obtenir justice devant les tribunaux.
    © Ana Carolina de Lima

    Protégeons les forêts, les droits humains et le climat!

    ”

    Pour s’opposer à cet accord UE-Mercosur dont l’impact sur les forêts, le climat et les droits humains serait désastreux, des actes sont nécessaires. Monsieur le Président Emmanuel Macron, vous devez vous y opposer et vous assurer que cet accord de commerce négocié entre l’Union européenne et le Mercosur soit rejeté par les États membres de l’UE et définitivement enterré.

    “

    Soutenez notre Lettre ouverte au Président.

    Sur le terrain

    Nos partenaires témoignent

    Paraguay

     

    “De plus en plus de communautés autochtones sont affectées par l’avancée de l’agroindustrie. La situation est particulièrement tendue dans les départements frontaliers avec le Brésil et l’Argentine.

     

    C’est une expansion sauvage et très violente, sans les moindres précautions et restrictions. Nous avons toutes les raisons de craindre une aggravation de la situation”. 

     

    Guillermo Ortega, Base-IS  

    INCUPO © Floriane Louvet

    Argentine 

     

    “L’Argentine est déjà l’un des plus gros consommateurs de pesticides, une folie sanitaire et environnementale, une irresponsabilité totale. 

     

    Et l’accord qui vise à dynamiser les exportations de grains, viande ou éthanol de canne à sucre vers l’Europe, va étendre la frontière agricole et démultiplier la contamination chimique et sanitaire”. 

     

    Juan Carlos Figueredo, INCUPO

    Au Brésil, soutenir les peuples autochtones

    Brésil 

     

    “Nous redoutons fort de voir des entreprises européennes concurrencer l’agriculture familiale, qui nourrit le pays. 

     

    L’accord va inciter à l’accroissement des productions agricoles destinées à l’exportation (soja, éthanol de canne à sucre, viande bovine). Ces cultures détruisent l’agriculture familiale, génèrent de la déforestation et utilisent massivement les pesticides”. 

     

    Maureen Santos, FASE 

    Expertise

    Nos rapports

    Tous les rapports
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    Accord Mercosur : les risques pour le climat et les droits humains

    Nous publions avec Greenpeace une nouvelle étude qui détaille point par point les risques majeurs (…)

    16 septembre 2020

    En savoir plus
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    16 septembre 2020

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  • Campagne Carême 2020

    Le temps des solutions

     

    La crise sanitaire que nous traversons ne connaît pas de frontière et nous fait craindre le pire pour les populations qui n’auront pas les moyens de se soigner et de mettre en place des mesures préventives.

     

    Engagés dans la lutte contre les causes de la faim et la préservation de la planète avec les organisations ou les communautés locales dans plus de 60 pays, nous sommes témoins de l’urgence de la situation.

     

    Heureusement, aucune pandémie n’a vaincu l’espérance !

    © William Dupuy

    1/3 

    des émissions de gaz à effet de serre
    provient du système agricole actuel.

    70 % à 90 %

    de la déforestation est due
    aux plantations industrielles.
    © William Dupuy
    © Gwenn Dubourthoumieu

    Changer de système agricole et alimentaire : une nécessité vitale 

    La crise sanitaire sans précédent que nous vivons, nous rappelle l’urgence de sortir de ce système industriel mondialisé pour nous tourner vers des modèles alternatifs plus respectueux et capables de nourrir toutes les populations.

    Urgence de revoir nos modèles de production et de consommation. Urgence de repenser notre système agricole et alimentaire. Urgence surtout de proposer des solutions qui existent et qui ont fait leur preuve.

    semence2.jpg

    L’heure de l’agroécologie a sonné

    A l’œuvre auprès des 500 organisations partenaires locales que nous soutenons sur les différents continents, nous nous mobilisons pour promouvoir un modèle de production durable, résilient et respectueux de l’environnement et des droits humains.

    L’agroécologie paysanne et solidaire : seule solution capable de nourrir les populations tout en respectant la planète et les droits humains.

    avec le CCFD – TERRE SOLIDAIRE

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    Sur le terrain

    Nos partenaires agissent

    Lucero

    CPT (Pérou)

     

    Lucero travaille pour la Pastorale de la Tierra (CPT) au Pérou. Elle coordonne des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques au Pérou, auprès des populations paysannes.

     

    Grâce à ces actions, la vie des populations s’est améliorée, et la souveraineté alimentaire revient.

    François

    Acord au Rwanda (RWANDA)

     

    François travaille pour l’association “Acord au Rwanda”, qui met en place des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques au Rwanda.

     

    Grâce à ces actions, la vie des paysans Rwandais s’est améliorée, et le gouvernement a même accepté d’intégrer les technique d’agroécologie dans son plan de développement agricole.

    Théogène

    UWAKI (RDC)

     

    Théogène travaille pour l’association “Uwaki Nord Kivu”, qui met en place des programmes de développement de techniques agricoles agroécologiques en République démocratique du Congo.

     

    Grâce à ces actions, la vie des paysannes et des paysans s’est améliorée, les femmes retrouvent leur place dans les familles et la sécurité alimentaire revient.

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4 rue Jean Lantier
75001 PARIS

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