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  • Retour en images sur la Journée mondiale d’actions pour le Climat

    Les bénévoles du CCFD-Terre Solidaire se sont mobilisés, samedi 6 novembre, partout en France, pour dénoncer l’inaction climatique des Etats, réunis à Glasgow pour la COP 26. Retour en images sur une journée haute en couleurs et en cris d’alarme pour la justice climatique.

    Marches, safaris du greenwashing, prises de parole, déambulations devant les portraits des dirigeants champions de l’inaction climatique…

    De Paris à Bordeaux, en passant par Strasbourg, Rouen ou encore Nîmes, nos bénévoles se sont mobilisés, aux côtés d’autres organisations, pour pousser un cri d’alarme face à l’urgence climatique.

    Ensemble, dénonçons les atteintes à l’environnement et aux droits humains. Ensemble, dénonçons l’inaction criminelle des gouvernements. Ensemble, exigeons de vraies solutions climatiques !

    Crédits :
    Ophélie Chauvin / CCFD-Terre Solidaire
    Emmanuelle Millon / CCFD-Terre Solidaire
    Marion Chastain / CCFD-Terre Solidaire

    Retrouvez notre campagne: Stop compensation carbone

  • Nous vous souhaitons une très belle année 2022 !

    Le CCFD-Terre Solidaire vous souhaite une belle année 2022 et vous remercie pour votre engagement!

  • Solène Clavel, volontaire en service civique

    Solène a été volontaire à nos côtés, rejoignant notre combat pour une politique migratoire plus juste et plus accueillante. Aujourd’hui, elle accompagne les nouvelles volontaires.

    Elle revient sur son service civique, et nous raconte ses missions , ce qu’était son quotidien et ce qu’elle tire de cette expérience.

    Au sein de l’Organisation pour une Citoyenneté Universelle (OCU), dont fait partie le CCFD-Terre Solidaire, Solène a été volontaire pour un projet qui vise à valoriser des expériences locales d’accueil et de solidarité avec les personnes exilées afin de promouvoir des politiques migratoires alternatives.

    Au cours de ses 5 mois de mission à Montreuil, elle a oscillé entre travail de recherche et travail de terrain.

    “J’avais très envie de rejoindre un réseau d’organisations de solidarité internationale engagé pour le droit des personnes exilées. Donc ce projet me parlait beaucoup parce qu’il me permettait de lier travail de recherche et travail collectif”.

  • Anouk Legoaec, chargée de développement associatif

    Anouk est Chargée de développement associatif dans la région Île-de-France.

    Qu’est ce que cela signifie ? Quelles sont ses missions quotidiennes ? Qu’est ce qui l’anime ? Elle nous explique les facettes de son métier.

    Au sein de la Direction de la Mobilisation Citoyenne, Anouk accompagne, d’une parte les actions portées par nos bénévoles. D’autre part, elle imagine de nouvelle formes de mobilisations citoyenne et les impulse dans une perspective de développement du réseau de bénévoles.

    Pour cela, son travail consiste à s’adapter aux différents terrains sur lesquels elle intervient et à identifier de nouvelles opportunités pour que le CCFD-Terre Solidaire puisse faire vivre sa mission de sensibilisation à la solidarité internationale.

    “J’ai choisi de travailler au CCFD-Terre Solidaire parce que j’aime beaucoup la complémentarité des différents moyens d’action de l’association. A savoir : le soutien à la société civile partout dans le monde, les actions de plaidoyer et puis la mobilisation citoyenne ici en France”.

  • Swann Bommier, chargé de plaidoyer régulation des multinationales

    Swann est Chargé de plaidoyer pour la régulation des multinationales au CCFD-Terre Solidaire.

    Qu’est-ce que cela signifie ? Quelles sont les actions mises en œuvre ? Comment s’organisent ses journées ? Il nous raconte les facettes de son métier.

    Au sein de la Direction du Plaidoyer Local, Swann œuvre à faire évoluer le droit français, européen et international pour s’assurer et contraindre les multinationales a respecter les droits humains et l’environnement.

    La plupart du temps, Swann travail en coalition avec d’autres associations et des syndicats au niveau français, européen ou international pour développer une expertise commune, changer le droit et faire adopter des lois qui protègent d’avantage les droits humains et l’environnement face aux abus que peuvent commettre des multinationales.

    “En France, le CCFD-Terre Solidaire a une très longue histoire sur la question de la responsabilité des entreprises et a joué un rôle majeur dans l’adoption de la loi française sur le devoir de vigilance. J’avais un très fort intérêt à rejoindre le CCFD-Terre Solidaire pour développer cette expertise et porter un plaidoyer en sachant qu’il était reconnu”.

  • Timor-Leste : des solutions pour lutter contre la faim climatique (vidéo)

    Au Timor-Leste, les dérèglements climatiques causent régulièrement des catastrophes naturelles extrêmes qui menacent la souveraineté alimentaire du pays. Face à ces enjeux, notre partenaire, Permatil, soutient de nombreuses initiatives pour permettre à la population de retrouver sa sécurité alimentaire.

    Cyclones, inondations, sécheresses … ces évènements météorologiques récurrents au Timor-Leste, mettent en péril les récoltes et déstabilisent l’économie.

    Notre organisation partenaire local, Permatil, soutient la réhabilitation des bassins versants permettant de s’adapter aux fortes pluies et de stocker l’eau en cas de sécheresse.

    Elle aide également les paysans à engager des démarches agro-écologiques durables pour régénérer les sols et retrouver leur sécurité alimentaire.

    Grâce à son action, une loi inédite a été adoptée en 2015, permettant d’intégrer la permaculture et l’aménagement des jardins potagers dans les programmes scolaires.

    Faim climatique, changeons les prévisions !

    JE SOUTIENS VOTRE COMBAT

    Pour aller plus loin :
    L’agroécologie vue du Timor Leste : des potagers en permaculture dans toutes les écoles ?

  • Le corbeau et le renard : produire local n’est pas une fable

    Maître Corbeau tenait en son bec un fromage local… Quand la célèbre fable de La Fontaine se détourne en une allégorie des bienfaits de l’agroécologie où l’agroindustrie n’a qu’à bien se tenir.

    Le corbeau et le renard

    Cette parodie de la fameuse fable nous raconte comment l’agroécologie est une réponse concrète au problème agricole mondial.

    Le CCFD-Terre Solidaire est engagé dans le programme de Transition vers une agroécologie paysanne au service de la souveraineté alimentaire (TAPSA), qui soutient partout dans le monde des initiatives en faveur de systèmes agricoles et alimentaires territorialisés, démocratiques et sains pour la planète et ses habitants.

    À voir aussi :
    Episode 1, La cigale et la fourmi : une nouvelle version de la fable autour de l’agroécologieRetour ligne automatique
    Episode 2, Semences paysannes : la fable du loup et de l’agneau revisitée

  • Des nouvelles du Paraguay : la communauté San Jorge lutte pour protéger ses terres

    Floriane Louvet, chargée de mission, est allée à la rencontre de la communauté paysanne San Jorge, victime de l’accaparement de ses terres et de violences policières. Avec notre partenaire local, l’OLT, nous nous mobilisons à leurs côtés pour défendre leurs droits et leurs moyens de subsistance. Depuis Caazapá, elle témoigne.

    La communauté paysanne San Jorge souffre d’un manque de terres pour pouvoir continuer à se nourrir et à se loger. Pendant ce temps, un grand producteur allemand s’est accaparé 3 000 hectares pour y cultiver des cultures transgéniques.

    Face à l’inefficacité des voies légales et à la corruption, la communauté est contrainte de passer par l’occupation de ces terres mal acquises pour pouvoir continuer à faire vivre les familles.

    Un paysan sans terre, ce n’est personne. Ta terre, c’est ton mode de vie. C’est ton identité, ta dignité. Donc, on préfère mourir en luttant plutôt que de renoncer à nos terres.

    Quotidiennement, elle se retrouve confrontée aux débarquements nocturnes de la police, qui intervient dans la violence et au prétexte de fausses accusations pour les chasser.

    “C’est le cas de milliers de familles paysannes au Paraguay, qui quand elles réclament un bout de terre qui leur est dû, se retrouvent confrontées à cette immense violence. (…) On est dans un pays où 85% des terres sont entre les mains de 2% de propriétaires”.

    Floriane nous partage sa rencontre avec les membres de la communauté, contraints de se cacher ou incarcérés en prison. Avec l’Organisation de Lutte pour la Terre (OLT), elle intervient pour soutenir la communauté, les écouter et les accompagner juridiquement.

  • Décoder trois enjeux de la COP 26 en une minute (vidéo)

    Myrto Tilianaki, chargée de plaidoyer climat au CCFD-Terre Solidaire, participe comme observatrice à la COP 26 à Glasgow. En une minute, elle synthétise trois enjeux de la conférence pour le climat.

    Défi 1 : que les Etats respectent l’objectif de l’accord de Paris, c’est à dire limiter le réchauffement à 1,5°.

    Aujourd’hui les objectifs des Etats sont insuffisants et nous conduisent vers un réchauffement de 2,7°.
    L’urgence est de réduire les émissions réellement et immédiatement.

    Défi 2 : la participation des pays du Sud, qui sont les premiers impactés par la crise climatique

    Aujourd’hui, à cause de la pandémie du Covid 19, un grand nombre de pays ne peuvent pas venir à la COP, soit parce qu’ils n’ont pas accès aux bons vaccins, soit parce que le cout de leur participation est exorbitant.
    Sans leur présence, nous craignons que des décisions soient prises qui ne prennent pas en comptes leurs réalités.
    C’est une question de justice climatique.

    Défi 3 : nous demandons l’exclusion du secteur des terres de l’article 6 de l’accord de Paris

    Aujourd’hui nombre d’Etats et d’entreprises vont planter des millions d’arbres pour compenser leurs émissions. Et ils vont le faire dans les pays du Sud, dans des endroits ou vivent des populations qui dépendent de ces terres. Elles risquent de perdre leur souveraineté alimentaire, et leurs moyens de subsistance.

    Nous demandons donc aux Etats lors de la conférence de ne pas cautionner ces pratiques qui sont néfastes pour les droits humains et la biodiversité.

    Pour aller plus loin :

    Retrouver notre site de campagne #stopcompensation

    Lire notre FAQ : COP 26, tout ce qu’il faut savoir sur le rendez-vous climat (FAQ)

  • Au Brésil, les Indiens sont les perdants de la compensation carbone (vidéo)

    Ninawa Huni Kuin est le président de la Fédération des peuples Huni Kuin de l’Etat de l’Acre au Brésil. Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer dans cette vidéo l’impact des programmes de compensation carbone sur son peuple et la forêt amazonienne.

    Le thème de la compensation carbone est apparu dans l’État de l’Acre, au cœur de l’Amazonie brésilienne, dans les années 2000 à travers le mécanisme REDD (Réduction des Émissions dues à la Déforestation et à la Dégradation forestière).

    Comme d’autres peuples indigènes, les Huni Kui ont cru que leur environnement allait être protégé et que leurs conditions de vie allaient s’améliorer.
    Mais ils ont vite déchanté.

    La compensation, une promesse déçue

    Le chef Ninawa Huni Kui dénonce aujourd’hui l’impact négatif de ce programme sur leur peuple : “Le Programme REDD interfère dans la vie des Huni Kui car l’état de l’Acre a reçu des millions pour implanter des services sociaux dans la communauté, comme l’éducation et les services de santé, mais ces fonds n’ont pas bénéficié aux communautés. “

    En fait, le gouvernement de l’État s’est approprié les terres indigènes pour récupérer des fonds à travers la compensation carbone. Et au contraire, la déforestation a triplé dans l’État de l’Acre témoigne-t-il.

    À cause de cette déforestation, le mode de vie traditionnel des 16 500 indiens Huni Kui du Brésil est aujourd’hui menacé. Les Huni Kui vivent de l’agriculture de subsistance, de la chasse, de la pêche : ” Mon peuple préserve 80 % de ses traditions, perpétue la connaissance des médecines traditionnelles et pratique la spiritualité à travers la médecine. Pour nous la forêt représente tout.”

    Les défis à relever pour les Huni Kuin sont nombreux : “Nous sommes aujourd’hui engagés dans une grande lutte pour protéger nos territoires qui sont menacés d’invasions pour implanter l’élevage, l’agro-négoce, les compagnies minières et l’industrie forestière. Tout cela dans le but d’exploiter nos territoires.”

    Les entreprises qui financent ces programmes sont celles qui polluent le plus

    Les indiens Huni Kui sont farouchement opposés aux mécanismes de compensation carbone. “La compensation carbone est pour nous une fausse solution car les entreprises qui financent ces programmes sont aussi celles qui polluent, comme les compagnies pétrolières, minières et aériennes. C’est pour cela que les émissions de gaz polluants n’ont pas diminué. “

    Le thème de la compensation carbone est apparu dans l’Etat de l’Acre au milieu des années 2000, où vivent près de 16 450 Indiens Huni Kuin © Jean-Claude Gerez / CCFD-Terre Solidaire
    “En détruisant la forêt, ils anéantissent notre source de nourriture, mais aussi nos plantes médicinales et notre spiritualité”, Ninawa, chef des indiens Huni Kuin© Jean Claude Gerez /CCFD-Terre Solidaire
    “J’ai compris que le programme de compensation carbone est une fausse bonne solution” , Ninawa chef des Huni Kuin © Jean Claude Gerez /CCFD-Terre Solidaire
    “Ce sont les Indiens, par leur mode de vie, qui protègent la nature, et ils sont aujourd’hui les grands perdants du programme de compensation carbone”. © Jean-Claude Gerez / CCFD-Terre Solidaire
    “Chaque année les fazendeiros [les grands propriétaires terriens] grignotent la forêt”, Busã, l’un des habitants du village de Formiga. © Jean Claude Gerez /CCFD-Terre Solidaire
    “En détruisant la forêt, ils anéantissent notre source de nourriture, mais aussi nos plantes médicinales et notre spiritualité”, Ninawa, chef des indiens Huni Kuin© Jean Claude Gerez /CCFD-Terre Solidaire
    “À force de planter sur les mêmes terres sans pouvoir les laisser se reposer, les récoltes sont moindres “, Ninawa, chef des indiens Huni Kuin © Jean-Claude Gerez / CCFD-Terre Solidaire
    “La question de la terre est centrale pour la survie de mon peuple”, Ninawa chef des indiens Huni Kuin. © Jean-Claude Gerez / CCFD-Terre Solidaire
    “Nous voulons préserver ce qui nous reste de forêt qui est le berceau de notre humanité” © Jean-Claude Gerez / CCFD-Terre Solidaire
    “Nous veillons à sauvegarder et cultiver notre langue et nos coutumes” © Jean-Claude Gerez / CCFD-Terre Solidaire
    “Nous nous excusons auprès de la nature de lui faire mal et lui expliquons l’usage médicinal ou spirituel de notre cueillette”, la femme du Pajé, le sorcier-guérisseur . © Jean-Claude Gerez

    Un appui du CIMI et du CCFD-Terre Solidaire

    Pour les accompagner, les indiens Huni Kui peuvent compter sur l’appui du (CIMI), association brésilienne soutenue par le CCFD-Terre Solidaire.

    Lindomar Padilha, membre du Cimi témoigne :
    Le CIMI travaille principalement sur trois fronts. Nous effectuons d’abord des recherches sur le thème de la compensation carbone. Ensuite nous formons des communautés et des leaders de communautés indigènes sur le marché du carbone et les mécanismes qui y sont associés. Et enfin nous organisons des mobilisations pour dénoncer ces mécanismes comme étant une fausse solution.

    Au CIMI, nous pensons que notre travail au côté des communautés indigènes est fondamental parce que notre mission est de défendre la vie de ces peuples. Et le marché de la compensation carbone atteint justement la dignité des peuples indigènes, car il ne respecte pas leurs structures ni leur organisation communautaire.

    Le CIMI accompagne 13 peuples indigènes dans l’État de l’Acre.

    Tous sont impactés par les conséquences de la compensation carbone.

  • ÉVASION AU CŒUR DES TERRITOIRES INDIGÈNES DE L’AMAZONIE

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  • Le Comité de la charte “Don en confiance” renouvelle son label

    Le Comité de la Charte du don en confiance vient de renouveler au CCFD-Terre Solidaire son agrément triennal. C’est un label important vis-à-vis de toutes les personnes qui font preuve de générosité pour soutenir nos actions de solidarité internationale

    (suite…)

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4 rue Jean Lantier
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