Ce sont les pauvres qui ont le plus perdu !
Selon la presse économique, le tsunami aura un impact économique faible : les principales infrastructures, les services et les zones industrielles ont été épargnées. A Aceh par exemple, les mines ont été préservées. Le Wall Street Journal prévoit que l’impact de la catastrophe sur le Pib de la région sera moins important que celui de l’épidémie de Sras. La Thaïlande, plus dépendante du tourisme, devrait subir le plus grand choc économique.
Ce sont les pauvres, les gens ordinaires qui « vont payer le plus lourd tribut », selon le New York Times. Leur marasme économique personnel pourrait les pousser à prendre le chemin de l’émigration, notamment au Moyen Orient, région traditionnelle d’accueil des travailleurs du Sud-est asiatique.
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