Une reconstruction équitable et durable
Pour garantir une aide adaptée aux besoins des populations, il est indispensable d’associer les ONG locales aux décisions, à la définition des besoins et des stratégies.
Ce sont les plus pauvres qui ont le plus perdu !
Selon la presse économique, le tsunami aura un impact économique faible. Ce sont les pauvres, les gens ordinaires qui « vont payer le plus lourd tribut »…
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Relancer une pêche artisanale durable
La pêche artisanale faisait vivre des centaines de milliers d’habitants côtiers. Elle est génératrice d’emplois, elle assure des revenus et une alimentation aux petits pêcheurs et à leur famille, elle est plus respectueuse de la ressource halieutique que la pêche industrielle…
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Un accès aux terres favorable au développement
Les terres dévastées par le tsunami font l’objet d’une compétition âpre entre populations de pêcheurs et de paysans et investisseurs dans l’industrie du tourisme ou de l’aquaculture.
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Agir en direction des populations marginalisées
Les Dalits (Intouchables) en Inde, les Tamouls du Nord-Est du Sri Lanka, les travailleurs birmans en Thaïlande, les déplacés à Aceh… ont généralement été délaissés par leurs gouvernements, voire par les organisations internationales.
Nos partenaires ont privilégié l’aide à ces laissés pour compte.
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Aider les victimes indirectes
Il faut certes réhabiliter les maisons, les bateaux, les commerces ou les champs des habitants côtiers directement touchés par le raz-de-marée. Mais il existe aussi des milliers de victimes indirectes plus difficiles à identifier. Elles sont souvent oubliées…
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